Ahmad Raouf Basharidoust; une des victimes du massacre 1988, arrêté à l'âge de 16 ans, a été éxécuté après plus de 5 années de prison

مجاهد قهرمان، احمد رئوف بشري‌دوست پس از بيش از 5سال اسارت در زندانهاي خميني دژخيم در جريان قتل عام زندانيان سياسي مجاهد در سال 1367 به شهادت رسيد.

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jeudi 7 octobre 2021

وزیر خارجة بلژیک : رویدادهایی که بین ژوئیه تا سپتامبر1988 رخ داد به‌خوبی شناخته شده است بلژیک اهمیت ویژه‌یی برای مبارزه با مصونیت از مجازات قائل است

 


در جلسة استماع وزیر خارجة بلژیک در کمیسیون روابط خارجی مجلس فدرال این کشور که روز ۲۸سپتامبر ۲۰۲۱(۶مهر)،  به ریاست خانم فان‌هوف رئیس این کمیسیون،  برگزارشد ، الن سامین نایب‌رئيس کمیسیون خارجی، از سوی خودش و کاترین ژاردن نایب‌رئیس حزب لیبرال فرانسه‌زبان بلژیک از وزیر خارجه پرسید: «خانم وزیر، سازمان غیر دولتی عدالت برای قربانیان قتل‌عام۱۳۶۷ که نمایندة بستگان قربانیان اعدام‌های سیاسی در ایران است، در تحقیقات نشان داد که ۳۰هزار زندانی سیاسی در سال۱۳۶۷ کشته شده‌اند. این اقدام با فتوای خمینی برانگیخته شده است.

گفته می‌شود ابراهیم رئیسی، رئیس‌جمهور فعلی (رژیم) ایران نقش مهمی در قتل عام سال۶۷ داشته است. بیانیة عفو بین‌الملل در تاریخ 19ژوئن 2021 خواستار تحقیقات بین‌المللی دربارة نقش رئیسی شد. شما گفتید که بلژیک موضوع اعدام‌های مخفی مخالفان سیاسی را در سال۱۳۶۷ در سطح سازمان ملل مطرح کرده. وضعیت فعلی این پرونده چگونه است؟ آیا شما این موضوع را در سطح اروپا مطرح خواهید کرد؟آیا از درخواست آنها برای تشکیل گروه‌کاری سازمان‌ملل برای انجام تحقیقات بین‌المللی در مورد اعدام‌های جمعی زندانیان سیاسی در ایران در سال۱۳۶۷ حمایت می‌کنید؟

وآیا تحقیقات بین‌المللی برای بررسی نقش رئیسی آغاز می‌شود؟

lundi 26 avril 2021

JVMI calls for UN intervention to stop destruction of Khavaran mass grave in Iran.

JVMI has received new credible information that the authorities in Iran are building over the Khavaran mass grave, south of Tehran, where thousands of victims of the 1988 extrajudicial executions are believed to be buried.

Last week, the Bahá’í International Community announced that the Iranian authorities had banned the Baha’is of Tehran from burying their loved ones in a space previously allocated to them in Khavaran cemetery. Instead, they were being told to use the site of the Khavaran mass grave which the authorities claim to have “recently emptied”.

The Baha’i community have protested the new order by agents from the Security Office of the Behesht-e Zahra Organization, which manages Khavaran.

Photo of new graves over mass grave in Khavaran, Iran.

 

jeudi 16 août 2018

IRAN - THE LITTLE PRINCE IN MULLAHS’ LAND


SOON AVAILABLE IN BOOKSHOPS

MY STORY HAS A MESSAGE THAT WILL VERY LIKELY INSPIRE THE “HERO” IN YOU

THE TRUE STORY OF A YOUNG IRANIAN WHO STOOD UP AGAINST THE MULLAHS’ REGIME AND PAID A HIGH PRICE FOR HIS BRAVERY IN THE 1988 MASSACRE IN IRAN

samedi 11 août 2018

Iran : 30 ans déjà que le crime fut commis


3o ans déjà de ce chapitre crucial de l'histoire iranienne et du régime actuel à l'heure de son déclin et de sa chute certaine. C’est un anniversaire triste pour des milliers familles endeuillé comme moi.
Ce massacre commença à la fin du mois de juillet 1988 coïncidant avec la fin de la guerre Irak-Iran. 30.000 prisonniers politiques furent sauvagement assassinés dans les différentes régions de l'Iran, dont mon frère cadet Ahmad Raouf-Basharidoust. La plupart étaient membres ou sympathisants de l'Organisation Moudjahidines du Peuple d'Iran, le principal mouvement d’opposition contre la dictature islamiste. Mon petit frère Ahmad n’avait que 16 ans, quand il a été arrêté chez nous dans un raid des gardiens de la révolution.
Il a fallu d'un décret religieux (fatwa) du Guide suprême l'ayatollah Khomeiny pour que la tuerie commence. « Tuez tous ceux qui sont en guerre contre Dieu et ennemis de l'Islam », avait-il écrit. Mon frère Ahmad a été pendu comme les 30.000 prisonniers politiques exécutés sur ordre de Khomeiny dans ce massacre. Des années plus tard en 1991, les agents du renseignement ont dit à mon père qu’ils l’avaient exécuté dans la prison d’Oroumieh, dans le nord-ouest de l’Iran, mais ils n’ont pas dit où il était enterré.
Ainsi toutes les régions de l'Iran devinrent un cimetière pour ces jeunes militants jetés dans des fosses communes, celles qu'à l'heure présente, avec des pelleteuses, le régime essaye d'effacer toute trace en broyant leurs os pour construire des routes comme symbole d'un faux progrès.
L'actuel président de l'Iran, le mollah Hassan Rohani, lui aussi fut un complice. Car en 1988 il occupait la fonction de vice-commandant de l'armée du régime, de ce fait, au courant de ce crime et de surcroît l'approuvant. Ceci montre qu’Hassan Rohani n'a rien d'un président modéré. La preuve évidente c'est qu'il a placé ses compères de la « commission de la mort » comme ministres dans des postes clés de son gouvernement. Cette « commission de la mort » a obéi aux ordres venus du Guide suprême, tout en sachant qu’ils étaient des ordres injustes, iniques et meurtriers.
Sans doute ces opposants furent choisis parce qu'ils incarnaient aux yeux des bourreaux une certaine idée de liberté et d'égalité et que dans leur délire sanguinaire ces ennemis des droits humains voulaient supprimer les témoins de cet air de liberté.
Jusqu'à maintenant une conspiration du silence s'est emparé de l'humanité pour nous rappeler que le mal absolu sommeille toujours dans le cœur de certains ou pour que leur passivité de jadis, dans d'autres lieux pour d'autres crimes, reste encore réveillé.
Comment s'effectuât-il cette prise de conscience pour éclairer la nature profonde du régime théocratique iranien et sa haine pour la liberté ? Pour que ce cri soit entendu il a fallu qu'un ayatollah excédé par la portée des crimes du régime auquel il appartenait, décide de laisser un message accablant, dont son fils a osé le sortir à la lumière.
Quoi faire donc des criminels ? Continuer à dénoncer où attendre que les instances internationales décident d'agir ?
La fin du régime semble proche, ils seront certainement jugés par le peuple iranien secondés par des juges internationaux. Mais ils devront rendre compte comme les nazis à Nuremberg.
 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/iran-30-ans-deja-que-le-crime-fut-206720

vendredi 9 février 2018

L’ONU doit créer un tribunal spécial sur l'Iran pour mettre fin à cette impunité honteuse pour l’humanité - Jean Ziegler


   « C'est le Conseil des droits de l'homme qui devrait instaurer une commission d'enquête sur les massacres de 88 et les massacres après. Il nous faut un tribunal spécial pour mettre fin à cette impunité qui est une honte pour l'humanité, » a déclaré Jean Ziegler, vice-président du Comité consultatif du Conseil des droits de l'homme des Nations unies. Il participait le 1er février à Genève à un tribunal citoyen dans le dossier du massacre des prisonniers politiques en 1988 en Iran.
Des témoins et des experts juridiques sont intervenus sur ce crime contre l’humanité resté impuni. Rendant leur verdict à l’attention des autorités onusiennes au terme d’une journée de témoignages, ils ont exhorté l'ONU à intervenir contre l’impunité en Iran et la vague actuelle d'arrestations et d'assassinats dans les prisons iraniennes au lendemain des récentes manifestations populaires qui ont ébranlées l’Iran.

Dans son intervention, le grand défenseur des droits de l’homme a déclaré :

mercredi 29 novembre 2017

نامه ای از گلرخ ایرایی؛ صدای قربانیان دهه ۶۰ باشیم

گلرخ ابراهیم ایرایی کنشگر مدنی محبوس در زندان اوین در واکنش به موفقیت مریم اکبری منفرد، هم بندی خود نامه ای نوشته است که به نقل از هرانا عینا در ادامه می آید:



فشار بر بانیان و مسببین جنایت دهه ۶۰ با اعلام شکایت رسمی از جانب خانواده های جانباختگان راه آزادی و ثبت اسامی آن عزیزان در نهادها و سازمان های بین المللی.
این کار پیشتر توسط مریم اکبری منفرد، زندانی سیاسی و از خانواده جانباختگان قتل عام های دهه ۶۰ انجام شد. قسمتی از جامعه دهه۶۰ را به یاد می آورند و برخی آن را شنیده اند، اما مریم آن روزها را زندگی کرده است.

mercredi 25 octobre 2017

Les assassins de mon frère occupent des fonctions gouvernementales en Iran

Une mission d'enquête internationale indépendante est la première étape pour découvrir la vérité sur les exécutions en masse de 1988 dans les prisons en Iran


par Massoumeh Raouf

  
·        Arrêté à 16 ans, mon frère a passé cinq ans dans les cachots des ayatollahs ; il a ensuite été sauvagement exécuté à la prison de Orumiyeh dans l’ouest du pays, durant les massacres de 1988.


·        En juillet 1988, des agents du Corps des gardiens de la République islamique (Pasdaran) ont transporté les prisonniers politiques jusqu'aux collines entourant le lac Orumiyeh et ont fait une véritable boucherie à l'arme blanche telle que des couteaux, machettes, gourdins, cognées et haches.

samedi 16 septembre 2017

Exposition Moussy le vieux sur le massacre1988

À l'occasion de l'anniversaire du massacre de 30 000 prisonniers politiques en 1988 en Iran, les mois de juillet, août et septembre sont marqué par cette tragédie. A cette occasion une exposition est organisée les 9 septembre 2017, à MOUSSY-LE-VIEUX(77132)
#Exposition #Iran

samedi 9 septembre 2017

L'Iran a tué mon frère pendant les massacres de 1988. Notre père cherche toujours sa tombe.

L'indifférence de l'Occident vis-à-vis des crimes historiques commis par l'Iran ont permis aux meurtriers de mon frère de s'en tirer.
par Massoumeh Raouf  30 août 2017  International Business Times

Un jour froid de mars 1988, ma collègue est venue et m'a dit : "Massoumeh, Massoumeh, tu as une lettre".
 Recevoir une lettre est courant chez la plupart des gens, mais pas pour moi. Je suis une ancienne prisonnière politique en Iran et avais été condamnée à vingt ans d'emprisonnement dans la ville de Rasht dans le nord de l'Iran.  C'est vraiment par miracle que j'ai pu m'échapper de prison et franchir la frontière iranienne de façon tout à fait rocambolesque.  Il était très dangereux de m'envoyer une lettre à cette époque de contraintes intenses menées contre les dissidents iraniens.